MANIFESTE DU PARTI BULGARE OUVRIER 
  ET PAYSAN  
I. LÉPOQUE CONTEMPORAINE
1. Dans le cadre du monde entier
 Lépoque contemporaine est « une crise de l"esprit ». 
Ainsi a-t-elle été appelée par lidéologue le 
plus imminent de la « société industriale » contemporaine, 
du capitalisme contemporain  Zbignew Brzerzinsky. « Le Prophète 
» Brzerzinsky avait prédit la chute du système « communiste 
». Cela nétait pas une difficulté particulière 
pour un politologue intelligent. La question était de voir ce qui suit 
après. Et cétait cette cécité par rapport à 
« après » qui a ammené à la « crise de 
l"esprit ». « Après », après « le communisme 
» on ne voit rien. Daprès les grands stratèges de limpérialisme.
Aujourdhui, au pied dun nouveau siècle, quand ledit « 
système communiste » sest écroulé, lorsque de 
nouvelles perspectives au développement libre du système économique 
capitaliste se sont ouvertes, il sest soudainement avéré que 
ces messieurs  procureurs du monde navaient pas dadversaires 
idéologiques  à comprendre philosophiques. Le chagrin quil 
leur manque (et il en manquera selon eux) un adversaire idéologique, provoque 
la nécessité de dévoiler les vices de leur propre système 
capitaliste. Mais personne ne peut souffler rien de nouveau. Et comme il est impossible 
(et dangereux aussi) à ces stratèges à pénetrer plus 
profondément sous la surface des choses, il est inévitable et normal 
damenés à « une crise de l"esprit ».
Il est vrai que cet esprit leader, spiritus rector, qui dirige toute activité 
humaine et qui est propre à la personnalité humaine libre nest 
plus présent. Lesprit libre dans son vol libre est resté vagabond 
dans le glorieux temps historique. La société de consommation contemporaine 
insiste de plus en plus à la consommation et moins à lesprit. 
Ce dont Marx a été illégalement accusé par les procureurs 
du système capitaliste  le matérialisme vulgaire (et combattant), 
est en réalité limage de ce système justement. Aujourdhui 
nous vivons dans un monde changé par de nouvelles technologies industrielles, 
un monde métamorphosé au cours des 100 derniers ans, lorsque le 
communisme en tant que doctrine avait commencé à envahir les esprits 
et les coeurs de milliers dhommes. Cest pourquoi des apologètes 
imminents du capitalisme veulent nous convaincre que le communisme est mort, que 
le communisme est inadaptable et archaique à notre, le nouveau temps et 
que le capitalisme, bien que transformé, est le système éternel 
et meilleur. Rien de cela, Messieurs ! Vivez tranquils et satisfaits dans votre 
ignorance contente ! Vous navez pas pu et naurez jamais pu mettre 
le pied à la planète Marx ! Vous naurez même touché 
le moindre pli du cerveau de Marx ! Vivez sans souci avec la pensée que 
« cela simplement est impossible », et que aujourdhui il ne 
peut pas y avoir une autre philosophie !
Quest-ce qui vraiement a changé pour 100 ans ? Le monde ! Mais pas 
le capital ! Aujourdhui, à la veille du XXI siècle nous vivons 
à lépoque de technologies dinformation et delectronique, 
dénergie atomique et de vols cosmiques. Louvrier noir de suie 
des fabriques fumantes est presque dans le passé. On ne peut voir le prolétaire 
aux muscles de fer, dressé contre des murs noirs que sur le vieux placards. 
Le travail dur et exténuant disparait de plus en plus, en devenant attractif 
et plus facile. Mais cela nest pas le mérite du capital. Cela est 
du au progrès technique, à la science, à léducation, 
à la lutte continue des ouvriers pour une meilleure vie. Le travail devient 
moins rude, mais il reste salarié ! Le travail physique cède la 
place au travail intellectuel, mais dans les deux cas il reste un travail salarié 
! Quest-ce qui importe pour le capital si son accumulation se fait non pas 
par beaucoup de sueur, comme autrefois, mais par beaucoup de nerves, comme de 
nos jours ? ! Ce nest que cela qui a changé pour 100 ans : la forme, 
la forme visible de lexploitation du travail  moins de sueur, plus 
de nerves ; travail intellectuel au lieu de travail physique ; travail intensif 
au lieu de travail extensif ; un travail complexe au lieu de travail simple. Mais 
la nature de lexploitation  labsorption de travail ajouté 
 reste la même comme dil y a 100 ans. La force de louvrier 
est une marchandise quil est obligé à vendre tout comme il 
y a 100 ans. Le rapport capital  travail est le même comme il y a 
100 ans. Le travail est salarié et non pas libre ! Lexploitation 
nest plus exploitation des cors noirs, mais des gants blancs. Mais elle 
est la même à la société industrielle précoce 
et à ladite « postindustrielle ». Lexploitation peut 
être fine déjà, et pas seulement sauvage, pas barbare, mais 
civilisée, sans cesser dexister! De nos jours notre faiblesse (et 
supériorité) en nous comparant aux hommes du XIX siècle, 
daprès les mots de Goncourt, et quil étaient à 
la veille de tous les espoirs, tandis que nous  au jour de leur ruine!
Au sein de la crise contemporaine, qui est la plus profonde dans le développement 
du marxisme nous sommes temoins du déclin, de lensevelissement dune 
idée  lidée du communisme. Un fantome erre à 
travers lEurope! Un fantome toujours ! Et jamais en chair ! Et non seulement 
à travers lEurope ! Le communisme à léchelle 
mondiale. Et cest pour cela on nous fait croitre que cette idée est 
stérile, quelle nest quune jolie blague. Que cette société 
parfaite sans violence et injustice, ce monde à rapports en dehors des 
marchandises, ayant oublié lexistence de largent et des guerres 
nest quune utopie. Mais cela nest pas vrai. Le communisme nest 
pas une utopie! Le communisme sera une réalité! Mais le pas à 
y parvenir sappelle socialisme. Pourquoi dun idéal des pauvres 
le socialisme est-il devenu une guillotine pour les épiciers ? Pourquoi 
de « futur brillant » est-il devenu un passé obscur? Parce 
que la vérité marxiste, c.à.d. la vérité 
scientifique de lui a été transformée en démagogie 
lucrative en la canonisant en tant que religion dEtat. Mais toute démagogie 
tombe en ruines un jour. Bien quelle fut une religion.
Le socialisme sest écroulé parce quen réalité 
il na jamais existé! Son support, creusé de lintérieur 
par les termites était prêt à se dissocier au contact le plus 
délicat de lintérieur. Le socialisme a été depuis 
très longtemps chassé à larrière-cour de la 
science et cest pourquoi il na jamais existé en pratique. Mais 
si jusquici lutopie avait été appelée socialisme, 
cela ne nous donne pas raison dappeler le socialisme utopie!
Lépoque contemporaine  dès la Grande Révolution 
socialiste doctobre jusquici est une époque de grands évènements 
politiques, dont la dimension et élan ont été méconnus 
au cours de toute lhistoire de lhumanité. Cest une époque 
du plus grand approfondissement de la crise générale du capitalisme, 
ayant son expression dans dextrêmes conflits de classe, de race, de 
religion et de nation. Une époque ou le capitalisme de lEtat monopoliste 
dans ledite système « socialiste » a pris sa forme finale et 
probablement dernière au degré supérieur de monopolisation 
de la propriété  la fusion complète et absolue de lEtat 
avec le capital monopoliste à la concentration et centralisation méconnue 
jusqualors, ayant mené à la fusion du capital industriel, 
bancaire et commercial dans un seul centre, dirigé par une oligarchie financière 
puissante quoique au nombre insignifiant. Une époque ou limpérialisme 
mondial du début du siècle sest transformé vers sa 
fin en extra-impérialisme, c.à.d. un impérialisme élevé 
à plusieurs degrés. Ni les guerres sont diminuées, ni les 
armes. Par contre. Le militarisme a poussé haut et dru, avec une nouvelle 
force mortelle, ayant trouvé les millions de victimes de la Deuxième 
guerre mondiale pas suffisantes. En réalité, cest le capitalisme 
de lEtat monopoliste qui a donné la base économique du fascisme 
qui a allumé cette guerre monstrueuse. De nos jours, cest toujours 
le capital de lEtat monopoliste qui crèe et développe de nouvelles 
stratégies à mener des guerres locales au lieu de guerre mondiales 
; à instaurer un riche Nord et Ouest en face du pauvre Est et Sud ; au 
triomphe de la violence, raffermie par le Corps de la paix ! Ce néocolonialisme 
contemporain doit assurer de nouveaux marchés et de régimes marionnettes 
dans les angles pauvres de la Terre pour y réaliser une exportation tranquille 
et sans obstacles de capitaux. Et dordures nucléaires.
Après la disparition de lURSS, il ny a quune seule grande 
force qui est restée  lempire mondial des États-Unis, 
lautre « empire du mal », en tant que gendarme mondial et gardien 
de la paix. Cétait même lépitaphe du « communisme 
» - « un nouvel ordre mondial » ! (La même chose, mais 
par des mots différents voulait Hitler aussi !) Et la Russie sest 
perdue dans le cercle magique et non pas de craie ! La grande force nest 
restée quavec son grand peuple.
« Un nouvel ordre mondial » veut dire de donner un nouveau sens de 
toutes les valeurs, c.à.d. à instaures de nouvelles. De nouvelles 
? Quelles sont-elles ?  largent, la prosperité, légocentrisme 
 le modèle de la société américaine ! Là, 
ou chacun doit se sauver tout seul et le communisme est un mot soit méconnu, 
soit impure. 
Pourquoi cette erreur était-elle convenable pour tous les deux cotés 
de la ligne du front idéologique ?  Eh, bien, pour un controle facile 
des masses  des deux cotés de la ligne. Pour une manipulation facile 
de la conscience sociale des deux cotés de la barricade  cétait 
la formule convenable  le communisme ! Les uns lattaquaient, les autres 
le « défendaient ». Ainsi, les masses obéissaient-elles 
 chacun à ses maitres. Jusquà ce que la formule sest 
usée et devait être changée. Simplement dès les années 
80 la civilisation a été attaqué par les les carnassiers 
du siècle, la société des deux cotés de la ligne a 
commencé a ne point sintéresser à lesprit
 
et au communisme ! Ou, comme Pascal a correctement noté, il est naturel 
que lesprit croie et que la volonté aime ; cest pour cela sil 
ny a pas dobjets réels, ils sorientent à des objets 
imaginaires. Parler aujourdhui de haut idéals ? ! Tout au contraire 
 de basses passions seulement ! « Ideals ! Des mots vides ! »
2. En Bulgarie
 Si lépoque contemporaine se characterise avec la « 
crise de l"esprit », en Bulgarie elle nest quune part de lesprit 
de la crise. Et la crise nest pas dhier. Elle ne date même pas 
du 10.11.1989, comme on essaye à suggérer au Bulgare. La crise date 
de 1983. A la fin de 1996 elle nest plus une crise. Cest une catastrophe. 
Irreversible
 Exterminante.
La première manifestation de la crise était en 1983. Cela veut dire, 
que ses racines sont posées beaucoup plus tot  pendant la floraison 
du « socialisme réel », ses causes originelles sont beaucoup 
plus loin dans le temps  à la tribune de chaque congrès « 
historique » du parti. Cest justement à ce temps que le pillage 
éffronté de la richesse nationale et lanarchie de léconomie 
sont commencés, et non pas dès la plus récente date de 10.11.1989.
En 1983, cétait le début de la crise de lénergétique. 
La Bulgarie, regardée dun satellite, avait lair dune 
discothèque à régime «lumineux-noir». Il sest 
ensuivi, en tant quune nouvelle manifestation de la crise, le procès 
de régénération de 1985  la plus grande excursion du 
tourisme organisé chez nous. Au cours des 4 années suivantes la 
crise se refoulait, cherchant un aspirail. Dans ce but, la « reconstruction 
» à Moscou était bienvenue, dont un pale rayon reflété 
est craintivement parvenu à nous en 1986. Une chronique continue a suivi 
dans les mass-média dune absense de propriétaire impunie et 
de gaspillage. Et tout dun coup le bouchon a sauté et lesprit 
mal est sorti de la bouteille. Cétait un coup-dÉtat 
de cour, engendré par la crise  le 10.11.1989. Cétait 
en réalité laspirail cherché et désiré 
de la haute tension accumulée pour un long temps en avant. La vapeur du 
mécontentement populaire, laissée passer par cette soupape, a mis 
en marche le sifflet, mais tout en arrêtant la marche du locomotive de la 
Bulgarie. Il y a eu de grandes passions délections et de « 
démocratie ». Il y a eu beaucoup de gouvernements, lun plus 
vénal que lautre, poussant le peuple et lÉtat vers la 
tombe. Lentropie de la crise augmentait à rythme orageux à 
la doter de dimensions de plus en plus grandes. Aujourdhui, 13 ans plus 
tard, la situation du pauvre Bulgare et pire que jamais. Depuis 1983 il espère 
que lannée prochaine soit meilleure et que le cauchemar ait fini. 
Il rêve que toute année prochaine soit meilleure, mais elle savère 
pire. Le cauchemar na pas de fin et surtout il devient de plus en plus terrible. 
13 années déjà de crise permanente !
Le « pouvour populaire » de « socialisme » a été 
remplacé par « pouvoir du peuple », traduite comme « 
démocratie ». Ça fait sept ans que de la salle du Parlement 
on entend le rire doucereux de linsolence sure de soi, on voit la même 
grossièreté, plongée dans son pouvour arrogant, hautainement 
sure de son impunité ! lidée la plus sacrée et la plus 
claire de tout député  cest laubaine ! Le pouvoir 
est utilisé pour laccroissement du compte en banque propre  
cest ce qui est lIdée ! Il ny a pas dautre idée 
! La démocratie dans notre Etat parlementaire est de nouveaue voilée 
par lombre lugubre de notre Ganio Balkanski. « Quoi, liberté 
! Allons bon, la liberté ! » Il sont de nouveau divisés aux 
notres et les autres  tout comme il y a cent ans. Nos députés 
ne sont quune répétition des personnage les plus vilains dAleko 
Konstantinov, entourés par des batteurs qui sont maintenant appelés 
des gardes. Patronat à battoirs  cest ce qui est la Bulgarie 
aujourdhui ! Tout cou garde son dos ! La perfidie, lintrique, laubaine, 
et surtout laubaine motif et devise de tout député et 
tout employé supérieur en général. La spéculation 
 son symbol-crédo. Selon une appréciation allemande la corruption 
en Bulgarie est plus grande que celle en Soudan même, ou tout est corruption. 
Bulgarie ne se souvient pas dune catastrophe pareille dans son histoire 
nouvelle, même après les guerres de 1912-1913 et 1918-1919. Il lui 
nest égale que la catastrophe lors de la chute sous le pouvoir otoman 
en 1396  la faillite, la suspension de notre État. La Bulgarie nest 
pas tombée sous les Turcs pour un jour. La Bulgarie était en train 
de dépérir pour plus de 20 ans avant cela. Comme cela se fait devant 
nos yeux ! De nos jours notre suicide saccélère à rythme 
digne denvie. Au cours des siècles aucune force étrangère 
navait pu effacé la racine bulgare de cette terre sacrée, 
terre promise. Maintenant, seulement pour 30 à 40 ans dauto-destruction 
nous sommes capable à le faire. De nos jours, tout État arabe est 
transformé de désert à jardin. Pourtant, nos émirs 
ont réussi à faire un désert du jardin de la Bulgarie. Tout 
comme des prosélytes de la sentence romaine sacrée « Après 
nous  le déluge » !
Sept ans déjà nous sommes obligés à regarder les images 
anaglyptiques bleues et « rouges » devant nous même sans les 
lunettes spéciales. Cest une technique, un truc bleu et rouge auquel 
lillusion dune image stéréoscopique est créée 
par la combination de deux images plates. Voilà pourquoi lune moitié 
de la société ne voit que limage bleue et lautre  
limage « rouge » ! Et cest la combination des deux images 
sur le film noir et blanc que nous avons à voir sept ans déjà 
qui fait lanaglyphe actuel diffus. Sept années entières, de 
longues sept années on menait une politique pas accidentelle mais consciente 
de gaspillage, dun chaos pas accidentel mais consciamment et intentionnellement 
créé, tout projetant de faire une respiration artificielle à 
la société au moment de sa suffocation complète comme lest 
le moment actuel. Les marionnettistes de ce chaos créé par eux-mêmes, 
savaient déjà quaprès le pillage complèt feront 
sortir à la scène politique de nouveaux sauveurs de la nation, « 
de nouveaux visages » à la nouvelle phraséologie, « 
des hommes du peuple », plaidant pour de lordre et de la légalité, 
pour une lutte contre la criminalité, c-à.-d. pour sauvegarder 
la propriété privée, prise de lEtat en force avant 
cela. Mais un jour, pour la grande surprise de hommes au pouvoir, il est devenu 
clair que des milliards de dollars de la richesse nationale sont emportés 
à létranger et eux, les hommes au pouvoir, nont pas 
le pouvoir à le rendre en Bulgarie ! Mais une Comité à sauver 
la Bulgarie a été créé ! Ceux qui nous ont amenés 
à la tombe, vont nous sauver ! Des sauveurs de Judas ! De nouveau des hourra-patriotes, 
suivis de phalanges de parvenus sans scrupules se sont dressés en avant 
et en tête  après le Neuf septembre, de même que après 
le Dix novembre !
Aujourdhui, à lépicentre du colossal cataclisme social 
pour la Bulgarie, on essaie de nouveau de diriger et dorienter la mécontence 
du pauvre peuple comme on a fait cela le 10 novembre 1989, et de la canaliser 
dans la direction qui leur était convenable, tout comme le théatre 
de cette date. Si lon ne peut pas calmer la situation on doit lui devenir 
maitre en encourageant lhystèrie et provoquant des grêves bien 
organisées, des collisions, des soulèvements sanglants ! Même 
la guerre civile !
Notre histoire ne se souvient pas dune telle rage daccumulation sauvage, 
de pillage et redistribution du capital, un tel pillage féroce de la richesse 
nationale, une telle raillerie sur son propre peuple. Il ne sagit pas ici 
de la classe ouvrière seulement, mais du peuple entier. Notre peuple ne 
se souvient pas de si insupportable fardeau fiscal et dinflation pour une 
si longue période de temps, même si pendant les années de 
guerre les plus noires. Ruinés sans guerre ! La survivance physique de 
toute une nation joue sa dernière carte ! Un crime monstrueux dont il ny 
a pas de prescription et un compte en sera tenu ! Le prix du pain est actuellement 
un crime ! Les rations de pain dans les camps de concentration ont été 
plus grandes que celles dans un nombre de régions en 1996 ! Un génocide 
sur son propre peuple ! Ruine, spéculation et gaspillage, une famine somalienne 
et une oppression egyptienne, des prix, incitant la terreur et des salaires provoquant 
le rire, des banques sans argent et des financiers sans conscience, une agriculture 
ruinée et toute industrie détruite  cest la Bulgarie 
démocratique ! Dautant de désespoir et dimpuissance 
et chagrin  tout comme dans les jours du joug otomane le plus noir ! Il 
ny avait pas de telle vie insupportablement lourde et désespérée 
même au « socialisme » davant ! Pendant les sept ans de 
démocratie le pillage était tellement barbare, comme il na 
pas pu être lors des 45 ans de « socialisme » ! Un peuple entier, 
réduit à lhumiliation et au chagrin ! On lui a enlevé 
neuf peaux, tout en demandant encore ! Le peuple le plus intelligent (daprès 
des évaluations étrangères) est puni (pourquoi, Mon Dieu 
?) par avoir les chefs les plus avides et les plus vénaux ! Le peuple bulgare 
a montré encore une fois quil nétait pas sauvage ni 
barbare. Ce ne sont que ses chefs qui sont des sauvages et des barbares !
II. LE SOCIALISME
1. Histoire, théorie et pratique
Avant de décapiter le roi, personne à Londres navait pas pu 
croire que cela était possible. Avant de décapiter le « communisme 
» personne en Europe navait pa pus croire que cela était possible. 
Mais cela est arrivé. Dans tous les deux cas. Lhistoire offre toujours 
des surprises aux spectateurs. Le roi à Londres et le « communisme 
» en Europe ont été sans gloire renversés. Sans que 
le roi puisse parvenir à lEurope, ni le communisme  à 
Londres ! Le point commun dans ce cas-là nest pas le roi et lEurope, 
mais le communisme et Londres. Et il sappelle Karl Marx. A la fin du XX-ème 
siècle nous vivons à un temps ou un déluge de fange verbale, 
des ondes de mousse sale inondent le nom et la mémoire de ce savant et 
philosophe génial. Marx  un des Sept sage de tous les temps, ne mérite 
pas un tel destin !
En 1830, sur les barricades de Paris, la classe ouvrière est apparue avec 
beaucoup de sang pour la première fois à la scène politique 
en tant quune force indépendente. Au cours des decennies du siècle 
suivantes ses peines nont pas touché à leur fin, ni son aspiration 
à la liberté  la paix. Il y a plus de 100 ans louvrier 
américain a conquis, toujours par donner beaucoup de sang, le droit de 
tout ouvrier de tenir sa tête fièrement et sa taille dressée. 
Des sombres et durs jours de travail il a gagné un jour pour son propre 
fête  le Premier mai. Un second siècle déjà ce 
Paques de la classe ouvrière est fétée aux drapeaux agités. 
Ce ne sont que les dates les plus lumineuses dans lhistoire de lhumanité 
qui peuvent instaurer une telle tradition séculaire. Mais comme si cette 
fête, avec le jour de travail réduit, restent les succès les 
plus importants dans le cadre de la longue lutte contre le capital.
Marx et Engels sont apparus pour décrire le système existant. Ils 
ont donné lexplication scientifique du régime économique 
existants et tracé le chemin au futur  le socialisme. Marx et Engels 
étaient les premiers à mentionner, comme Lénine note plus 
tard, que la classe ouvrière, avec ses revendications était un produit 
nécessaire du système économique contemporain, que cétait 
elle qui était la force motrice du système économique futur 
 le socialisme, que socialisme et travail libre étaient des notions 
équivalentes et quils nétaient possibles que si basés 
sur la propriété collective des moyens de production.
La suite nétait pas en retard. Lénine est apparu avec son 
parti bolshevique, à la détermination de mettre le socialisme à 
jour. La Grande révolution socialiste doctobre est venue au nom dun 
changement radical du statut de la classe ouvrière, pour instaurer le socialisme, 
mais elle navait pas la chance de réaliser ses projets. Par contre, 
ses drapeaux et ses idées ont été utilisés pour loppression 
justement de la classe ouvrière et dans les buts de la lutte entre deux 
systèmes impérialistes. Elle a mis le début dun système 
politique despotique, mais qui était au détriment de la classe ouvrière 
et du travail salarié, connu de nos jours en tant que totalitarisme. Le 
totalitarisme -ce n'était pas de socialisme. Le socialisme a un visage 
humain ! Et aucun dautre !
En réalité, en 1968 en Tchécoslovaquie, Dubcek a demandé 
« Socialisme au visage humain ! » Et il est devenue sympatique pendant 
le Printemps de Prague. Alors, tout comme tous les autres, il pensait peut-être 
que cétait le socialisme. Lillusion qui avait envahi les esprits 
là et alors, continue par être enracinée dans tous les esprits 
ici et maintenant. Pourquoi ? Parce que le socialisme ne peut pas avoir un autre 
visage, mais un visage humain ! Si ce visage nest pas humain, cela veut 
dire, que cela nest pas de socialisme ! Encore Oscar Wilde avait écrit 
que « le socialisme autoritaire nétait pas suitable », 
en cherchant une place pour lame de lhomme au socialisme. Lui encore, 
il a rejeté un tel « système de caserne » de « 
barbarisme bien soigné et brutal ». Malheureusement, il a été 
lun du petit nombre de gens pensants qui a compris que « la vraie 
perfection de lhomme est non pas en cela quil a, mais en cela quil 
est »! Sans être accusé en communisme, il a pu comprendre que 
« lon pense que lessentiel est davoir, ne sachant pas 
que lessentiel est dêtre »! Il était le premier 
à écrire Socialisme à la majuscule, justement parce que lame 
humaine devait trouver la paix et lIndividualisme.
Le socialisme  cétait le mensonge du siècle, le mensonge 
du XX-ème siècle. Un mensonge répété 100 fois, 
devient une vérité ! Cet axiome de Gobels a eu sa confirmation absolue 
au sujet du socialisme. De plus  100 fois par 100 par jour, au cours de 
45 ans, et pour lURSS  au cours de 75 ans, a été accepté 
comme vérité par des milliers dhommes qui maintenant ne peuvent 
pas se débarasser de ce mensonge  pour eux le passé était 
un socialisme. Un mensonge répété non pas cent fois, mais 
des milliards de fois !
La situation historique actuelle nest pas une restauration du capitalisme. 
Parce que le socialisme na jamais existé. Le danger dun « 
socialisme faux » était prévu encore par les classiques de 
cette doctrine. Et malgré tout, cest sous cette forme que le socialisme 
est venu  faux. Qui est la preuve quil nest pas de socialisme. 
« Le socialisme réel » était une réalité 
virtuelle, dont la nature insidieuse est clairement apparue immédiatement 
après son renversement en tant que religion dEtat, qui nétait 
plus convenable aux prêtres de ce système. Le socialisme nétait 
pas de socialisme. Il a été un capitalisme ordinaire. DEtat. 
Monopoliste. Monopoliste dEtat. « Le système socialiste mondial 
» nétait que capitalisme dEtat monopoliste en sa forme 
supérieure au degré complet, absolu et pour cela final, de socialisation 
des moyens de production, au degré supérieur de monopolisation de 
la propriété de la part dun seul propriétaire  
lEtat. Une telle socialisation des moyens de production, avec les anciens 
rapports de production du capital reservés, a créé ce monopole 
absolu qui a cimenté la vie économique et sociale entière 
et cloturé ce système de « rideaux de fer ». Les anciens 
rapports de production signifiaient de nouveau, de la même manière, 
la transformation de largent en capital et que la force de travail est une 
marchandise, quelle la été au capitalisme jusqua 
ce moment. Cétait un précédent méconnu dans 
lhistoire du capitalisme, copié par lUnion Soviétique 
 une extra-concentration et extra-centralisation du capital, permettant 
à une oligarchie financière davoir un pouvoir illimité, 
à la ressemblance à labsolutisme féodal.
Le socialisme a eu son fiasco en tant que doctrine pour deux causes principales. 
Primo, à cause de lillusion profonde, que les lois économiques 
du socialisme étaient révélées, alors que en réalité 
tous les procéssus économiques ont été subordonnés 
aux lois capitalistes. Léconomie politique de Marx e été 
remplacée par léconomie politique bourgeoise bornée, 
niée depuis longtemps par Marx lui-même, avec son « paiement 
du travail » à lesprit étroit. Après ce que Marx 
a catégoriquement et clairement expliqué que ce nétait 
pas le travail, mais la force de travail qui était la marchandise à 
être vendue par louvrier, on ne devait plus se rendre au niveau de 
cette  avant Marx  économie politique, mais il fallait expliquer 
quand et comment dans le monde marchand de force de travail cesse dêtre 
une marchandise.
Avec cela, la pensée conservatrice a élevé le dogme indestructible 
que la propriété dEtat est publique. La propriété 
dEtat nest pas publique ! Depuis que lEtat existe dans la société, 
la propriété dEtat na jamais été publique 
! Comment la propriété dEtat devient-elle publique  
cest la question ! Cest ce qui devait être éclairci.
Secondo, à cause de lignorance consciente des principes du marxisme 
par rapport à lEtat. Cet attentat particulièrement brutal 
a été effectué contre les principes essentiels du socialisme 
 ces 5 principes directeurs qui sont obligatoires en tant que mesures pour 
la destruction de lancien Etat et la construction du nouveau, lEtat 
socialiste. Il était exclusivement facile, à la base de la base 
capitaliste de la production publique, à violer, à pervertir les 
principes du socialisme scientifique, c-à.-d. ces principes du marxisme 
ortodoxal, qui construisent le socialisme en tant que système politique, 
tous les postulats du marxisme à légard de lEtat qui, 
après la mort de Lénine jusquà nos jours ont été 
brutalement écrasés et oubliés. Ce sont 5 principes essentiels, 
orientés contre le carriérisme, larbitraire, le gaspillage 
et la corruption dans lEtat, contre linviolabilité féodale 
des privilèges et larbitraire de lautocratie  contre 
tout cela qui avait été pénétré comme une lèpre 
si profondément dans notre triste réalité. Ces 5 principes 
fournissent le contenu de lEtat socialiste en tant quEtat de classe, 
et non pas comme « Etat populaire » comme il a été proclamé 
dans tous les pays du « socialisme mondial ». « LEtat 
populaire », objet dune critique annihilante de la part de Marx, Engels 
et Lénine, est un Etat idéal, utopique et impossible dans le cadre 
de la société de classe, à laquelle nous vivons  nimporte 
voulons-le ou non, un nonsense dans lexplication scientifique de la nature 
de lEtat, mais exclusivement convenable pour toute plutocratie au pouvoir 
dans le but de manipuler facilement la société, ayant son expression 
dans « la solidarité du peuple », « lunité 
de la nation », etc. pour former la paix et la collaboration des classes.
Il existe actuellement lopinion économique mondiale que le socialisme 
 cest lintervention de lEtat dans léconomie. 
Par conséquence, « plus de socialisme » - plus dintervention 
de lEtat ! Rien de semblable. Le socialisme et une économie marchande, 
mais sans propriété privée ! Le socialisme est une économie 
marchande  sans régulation dEtat ! Le socialisme est plus marchand 
que toute autre économie, même que léconomie capitaliste 
la plus marchande ! Le socialisme  cest le marché libre dAdam 
Smith et Marx, mais purifié de toute intervention et régulation 
dEtat. Une chose qui nest pas présente même dans le marché 
du capitalisme le plus développé et le plus « libre » 
de nos jours. Un des buts du socialisme est libérer léconomie 
justement de toute protection et régulation de la part de lEtat, 
non seulement restriction, mais lélimination complète de létatisme 
dans léconomie. Le socialisme nest pas une propriété 
privée, mais il nest pas une propriété dEtat 
non plus. Le socialisme est une chose entièrement differente  un 
antipode de la propriété privée, de même que de la 
propriété dEtat. Le socialisme est une propriété 
publique mais seulement des moyens de production et pas de lautre  
des femmes, des maisons ou des chewing-gums, par exemple !
Le but du socialisme, le vrai but, comme la fidèlement perçu 
le grand Britanique, et de reconstruire la société de manière 
que toute pauvreté soit impossible ! En réalité, par différence 
du christianisme, qui est une doctrine à aider la pauvreté, le socialisme 
de Marx est une doctrine à liquider la pauvreté. De plus  
le marxisme est lunique idéologie scientifique qui défend 
les pauvres. Une autre question est que tout comme le christianisme elle a été 
élevée en rang de religion dEtat pour protéger les 
riches ! Laccumulation de richesses est un fardeau, une obligation à 
laquelle lon doit continuellement être esclave. Voilà pourquoi, 
toujours daprès les mots du génie de lAlbion, les riches 
(et non seulement les pauvres) sont intéressés à éliminer 
la propriété privée et se libérer des obligations 
insupportables par établir le socialisme.
Cest justement le socialisme qui est réellement lincarnation 
de lidée dune société civile, qui est si persévéramment 
propagandée de nos jours, parce que ce nest que dans les conditions 
du socialisme que la politique guidante de la société est la disparition 
de lEtat, c-à.-d. le développement de la société 
civile et labolition permanente de la contrainte et de la bureaucratie dEtat. 
Le socialisme est lunique système ou « comme résultat 
naturel lEtat dénonce de lidée dêtre au 
pouvoir »!!! Ce nest que le socialisme ou « le contrat social 
» de Rousseau est réalisable.
Il y a beaucoup dannées Lénine a écrit que dans leurs 
oeuvres Marx et Engels ont été les premiers à expliquer que 
le socialisme nest pas une blague des rêveurs, mais un but final et 
un résultat nécessaire du développement des forces productrices 
de la société contemporaine. Le socialisme n'est pas une blague. 
Le socialisme nest pas une utopie. Le socialisme est une science, et surtout 
une science exacte. Une science, dont la tache essentielle est dexpliquer 
ce qui est la propriété publique des moyens de production.
Est-ce une utopie vraiement la propriété publique, comme disent 
certains, est-elle une absurdité ayant en vue lexistence de la production 
marchande, comme disent dautres ?
Il savère, en nous appuyant à Marx, que la propriété 
publique des moyens de production est une pratique réalisable, même 
dans les conditions de la production marchande, si étrange que cela apparaisse 
pour quelquun ! Il est possible un tel méchanisme de la production 
sociale qui exclut lexploitation de la force de travail, un méchanisme 
qui arrête laction des lois capitalistes de manière ou la force 
de travail cesse dêtre une marchandise, et le processus daccroissement 
de la valeur  un capital. Ce méchanisme lie les lois économique 
séparées, à travers lesquelles le socialisme peut être 
réalisé en tant quun système économique réel, 
de manière ou le processus daccroissement de la valeur cesse de créer 
le rapport social de capital. Nous envisageons ce processus comme un processus 
« thermodynamique ». A la base de cela, le processus entier de reproduction 
de la production social représente un processus « polytrope », 
dont les processus « isolés » forme un cycle de Carnot. De 
cette manière ces lois économiques comparativement simples donnent 
le contenu concret de légalité et de la justice sociales, 
mais aussi certaines conséquences inattendues, auxquelles elles mènent 
 par exemple la disparition de tout type dimpots sur le salaire et 
la purification de la société de telles tumeurs malignes, de telles 
vices innées du capitalisme comme le chomage et linflation. Il savère 
que par rapport des lois de valeur le socialisme est un cas isolé et frontalier 
du capitalisme. Avec cela le socialisme est une phase inférieure du communisme. 
Ce qui, de sa part, dans des conditions déterminées permet la transition 
de rapports de production marchands à rapports non-marchands, c-à.-d. 
communistes.
2. Les partis gauches en Bulgarie
Sil y avait un prix pour un parti droit, représenté de la 
manière la plus successive pour parti gauche, il devait être de plein 
droit donné au Parti socialiste bulgare (PSB). Cependant, il sest 
avéré que sept ans nont pas été suffusants à 
lénorme masse de ses membres à revenir à soi. Ce nétaient 
que les élections présidentielles qui ont fortement secoué 
les bases de ce parti « socialiste ». Mais cela était inévitable 
 une question de temps seulement. Le Parti socialiste bulgare, créé 
il y a sept ans du centre stratégique de traitement de masse de lex-Parti 
communiste bulgare, était lhybride réussi entre de jeunes 
roublards et de vieux naifs. Pour lunité, pour le concert du parti, 
il fallait, naturellement, que les roublards soient peu et les naifs  plus 
nombreux. Linverse nest pas possible. Cest dans ce but que le 
Parti socialiste bulgare était créé  pour utiliser, 
à ce moment convenable, linertie de la partie blanchie de la société, 
aveuglement fidèle à ses leaders, pour un support sur et massif 
de leurs crimes. Le cynisme et le masochisme ont fait un tout au Parti socialiste 
bulgare  les uns volent les autres dune manière amicale, et 
les seconds en sont heureux, approuvant les premiers. Il fallait que laffermissement 
du gros capital privé soit rencontré par lenthousiasme et 
lamour du peuple entier ! Comment ? Voilà comment  avec un 
parti « socialiste » !
Le Parti socialiste bulgare a fabriqué un programme dune mélange 
éclectique de la camelote et de débris. On ne sais pas son idéologie 
principale, il y a quelque chose à g ;tout gout. De honte et pour se présenter 
au monde, le Parti socialiste bulgare souligne quil nest pas un parti 
communiste. Cependant, peu avant cela le Parti socialiste bulgare « annonce 
dune manière haute et claire » quil est un « parti 
du travail et des hommes de travail, des ouvriers et des paysans ». Il « 
annonce dune manière haute et claire » encore une fois quil 
est un parti des pauvres et des appauvrissants en Bulgarie », en défendant 
« les droits et les intérêtes des exploités et des défavorisés 
! » Et si cela nétait un nouveau sommet de son cynisme  
tout comme le Parti communiste bulgare jusquà 1989! Il ressort de 
ses annoncements prolétaires que le PSB nest pas un parti communiste 
mais un parti des pauvres ! Pourtant, une ligne plus bas on comprends que PSB 
annonce encore une fois  « de la même manière haute et 
claire », quil est un parti des petits propriétaires, du petit 
commerce. De plus, PSB annonce partout quil est un parti socialdémocratique 
et quil reconnait les valeurs socialdémocratiques. Cela est particulièrement 
bien enraciner dans ce même malencontreux programme.
Et voilà  le PSB est donc un parti communiste (ou des pauvres), de 
la petite bourgeoisie et socialdémocratique en même temps! Trois 
idéologies incompatibles sous un même aigle ? ! Quel partie est le 
PSB en réalité ? Il est le seul quil nannonce pas  
un parti du gros capital. En réalité PSB est un parti du gros capital 
financier droit sans une idéologie déterminée, mais étant 
armé de sa démagogie sociale. PSB souligne quil est un parti 
social national ! Et cela suggère déjà de certaines idées!... 
Qui est le gauche du PSB « gauche » ?
Qui est le socialiste de ce parti socialiste ?
Ou est la bonne chance, adoptée comme une devise pour les élections 
de lAssemblée Nationale, dont les deux premières lettres du 
mot bulgare coincident avec le sigle du PSB ?
Nous savons dune source sure, quil y a des écoles différentes 
qui « essaient à résoudre le problème de la pauvreté 
par maintenir les pauvres vivants, et dautres, plus avancées  
par les amuser ». Le PSB, en tant qu« un parti des pauvres », 
est évidamment une école très arriérée, troglodytique 
 il nessaie même pas à maintenir les pauvres vivants 
! PSB cherche à résoudre le probleme de la pauvreté en ne 
pas laissant même les pauvres vivants !
La suite est un peu plus à gauche dans le spectre. Chez la socialdémocratie 
 rien de nouveau ! Rien que des slogans, vides et pompeux, rien que des 
phrases ! Tout comme autrefois. Son idée essentielle du prétendu 
« socialisme démocratique » est un essai malfait de réconcilier 
lirréconciliable  le capitalisme et le socialisme ! « 
Le socialisme démocratique » est une des réincarnations de 
la théorie irréalisable de la convergence. Il signifie en effort 
pour attribuer des traits humains au capitalisme, qui lui manquent dimmanence, 
un effort pour adoucir, et surtout théorétiquement ses formes dures. 
La socialdémocratie a toujours été des pincettes convenables 
dans les main du gros capital, à étouffer la braise, à diriger 
la société après lavoir divisée en parties, 
à briser et à désunir les forces du coté de la gauche. 
LAlternative dUnion sociale, lUnion de Démocratie Sociale, 
le Parti socialdémocratique bulgare, etc. ne sont que des projections dans 
une autre dimensions de la multitude de Partis communistes bulgares, alors que 
ces partis-mêmes  des morceaux de lexplosion de la masse du 
Parti communiste bulgare en 1989, composée de débris, de boue et 
dordures.
De cette ruche  lex-Parti communiste bulgare, des années déjà 
essaime un nombre inoui de partis communistes bulgares dont le trait essentiel, 
le plus spécifique est laspiration dêtre leader. On ne 
peut qu avoir pitié pour ces hommes honnestes qui seulement pour 
le nom de communiste sont jettés dans ces partis, sans point comprendre 
quils ont été menti par des gens ignorants en politique, quils 
sont mené dans une direction inconnue par des aveugles et des clowns qui 
veulent construire le communisme par ... la propriété privée 
! De la manière semblable à celle de PSB, lénorme partie 
de communistes sincères est facilement subordonnée par des phrases 
communistes ; tous les communistes qui sont vraiement fidèles à 
lidée deviennent une proie facile, mais pas au rusé, comme 
en PSB, mais à un paranoiaque attendant à être médicalement 
certifié. Tout mégalomane à un degré de folie différente 
et à la manie de grandeur pathologique forme un cercle à lui et 
lappelle parti communiste, pour y jouer le role principal  celui du 
Leader ! Les patrons de ces confréries, c-à.-d. partis, dont 
chacun est grand, sont dautant pénétrés dans leur emploi, 
dautant aveuglés par leur propre lumière, que leur seul but 
sacré est le retour du bon vieux temps et leur pose de messie. Cest 
ce qui est la raison davoir un grand nombre de petits partis aux fonctions 
décroissantes  pour provoquer le rire de la droite, et les larmes 
de la gauche ! Les pasteurs de ces troupeaux, force de leur propre étroitesse 
desprit et impuissance sénile ne peuvent pas voir le visile  
que lancien système, le socialisme sous la forme quil avait, 
ne sera jamais, eh, bien, jamais de retour ! Jamais plus.
III. LE PARTI BULGARE DES OUVRIERS ET DES PAYSANS  
un parti du travail
1. Identité
La classe ouvrière en Bulgarie continue dêtre mentie  
au cours du « socialisme » et maintenant  lors du « démocratisme 
». Le mensonge avait duré des disaines dannées, pour 
se prolonger jusquà nos jours. Et dune manière ou il 
ny a personne à défendre ses intérêts. Il ny 
a pas de syndicats en Bulgarie. Du moins il ny en a pas tels défendant 
les ouvriers et pas leur chefs. Par contre, ces syndicats qui sont présents, 
sont des partenaires dans le hasard du casino Bulgarie, des croupiers des mises 
de la roulette nationale, ou les joueurs féroces frémissent de leffort 
de se dépouiller lun lautre. Mais en plus de la défense 
syndicale, qui est presque absente, la classe ouvrière et le travail salarié 
ont besoin et de défense politique. Ce nest pas un syndicat, mais 
un parti seulement, qui puisse défendre les intérêts politiques 
des ouvriers. Ce nest quun parti, ayant la position claire au sujet 
du passé et la théorie exacte vis-à-vis au futur, qui puisse 
se dresser derrière la classe ouvrière et le travail salarié 
entier et défendre leur intérêts. Y-a-t-il un tel parti en 
Bulgarie ?
Il y a un tel parti !
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est lunique parti en Bulgarie 
qui se dresse complètement et sans réserves derrière le martyre 
de cette classe. La classe ouvrière bulgare est une classe martyr et ce 
nest pas dhier ! Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est 
le seule à le reconnaitre  quelle a toujours été 
une classe-martyr. Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est le seule à 
blamer lex-système socialitaire en tant que capitalisme dEtat 
et pas que socialisme ! De tous les partis de la gauche, le Parti bulgare des 
ouvriers et des paysans est le seule ayant adopté de claires positions 
marxistes. Tout autre est mensonge.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans nest pas seulement un parti 
de la classe ouvrière, il est un parti du salariat entier, de tous les 
ouvriers et employés salariés, de tous les hommes dont le travail 
est salarié  mineurs et médecins, ouvriers de construction 
et professeurs, paysans et savants, tous ceux que le capital a placés dans 
une situation subordonnée !
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans reconnait le fait scientifique et 
la nécessité historique que, en libérant le travail salarié 
de louvrier, on libère le travail de tous les autres groupes et couches 
sociaux, c-à.-d. toute la société est libérée. 
Voilà pourquoi le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est un parti 
du travail. Dans le cadre de la société capitaliste, en opposition, 
le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est un parti du travail salarié, 
c-à.-d. il est derrière tous ceux que le capital a transformé 
en marchandise. A la société socialiste, au pouvoir, le Parti bulgare 
des ouvriers et des paysans est un parti du travail libre, c-à.-d. 
il est dressée contre tous ceux qui transforment la marchandise en capital. 
PBOP se croit héritier du parti marxiste contemporain le plus ancien et 
le plus mur en Europe de lEst et en Europe en général  
le Parti ouvrier socialdémocratique bulgare de Dimitar Blagoev. Voilà 
pourquoi Parti bulgare des ouvriers et des paysans a ses racines profondes, il 
est continuateur de traditions glorieuses, porteur dune continuité 
historique. Nous sommes toujours éclairés par la lumière 
de ce sommet historique, resté haut et inaccessible pour toutes les attaques 
au cours des années, en tant quune référence précise 
à lobscurité.
2. Organisation politique
2.1. Principe dorganisation
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans admet pour principe guidant le centralisme 
démocratique. Ce principe a été accusé être 
la source de tous les malheurs de la société de lex-« 
socialisme » et la plupart des partis de la gauches se sont dépêchés 
à se débarasser de lui. Et de Lénine aussi. Il est vrai, 
quil y avait du centralisme dans lex- Parti communiste bulgare. Oui, 
il y en avait, mais ce nétait pa de centralisme démocratique 
! Il ny avait rien de démocratique dans ce systéme antidémocratique, 
encore moins dans son centralisme. Il existait alors dans le Parti communiste 
bulgare du centralisme bureaucratique dont Lénine appréhendait le 
plus et contre lequel il menait sa lutte la plus dure. Un principe donné 
dun parti ne peut pas être accusé pour le malheurs dans un 
Etat. Est-ce que le Parti ouvrier allemand national-socialiste de Hitler était 
basé sur le centralisme démocratique ? Et si le Parti communiste 
bulgare avait suivi son exemple pour transformer ses membres dans une masse de 
parti impersonnelle, ce ne sont ni Lénine, ni le centralisme démocratique, 
qui peuvent en être coupables. Parce que, dans ce cas, alors que tout démocratisme 
est absent de ce centralisme, il nest plus de centralisme démocratique 
!
On demande maintenant  est-il possible quun partie existe sans centralisme 
?
Oui, sil confesse lanarchisme ! Il est claire de la théorie 
des systèmes, quil ny a pas de tel système, dans lequel 
le cas isolé ne soit pas subordonné au général. Cela 
est valable pour la nature vivante et non-vivante. Ce principe  le centralisme 
 est lessentiel dans lordre général du monde, 
dans lorganisation de la matière. Tout autre est chaos.
Un autre principe est ordinairement confronté à celui-ci  
le consensus, laccord général. Seulement, il ny a pas 
délections de parti, parlementaires ou présidentielles ou 
des décisions au monde, ayant été prises en observant ce 
principe. Lors du consensus, la minorité impose son vote à la majorité. 
Lors du centralisme  cest linverse. Il ny a pas de position 
médiane. Qui est le plus démocratique ? Voilà pourquoi le 
centralisme est à la base de toute organisation, le centralisme est nécessaire 
à tout parti politique. Mais si ce centralisme est démocratique 
aussi, ce sera le meilleur créé par la pensée humaine en 
tant que principe dorganisation. Sest pourquoi le Parti bulgare des 
ouvriers et des paysans est fermement dirigé par ce principe essentiel 
 le centralisme démocratique.
2.2. Le parlementarisme
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans reconnait le système politique 
à partis multiples, en sy appuyant lors lopposition aussi bien 
que sil est au pouvoir. Le parlementarisme, étant une découverte 
de la doctrine politique bourgeoise, est nécessaire au parti ouvrier aussi, 
justement pour protéger et sauvegarder ses principes face à tous 
les autres partis, pour prouver son identité et son moral. A la société 
capitaliste le Parti bulgare des ouvriers et des paysans est obligé à 
utiliser le parlementarisme comme une arme dans sa lutte, comme un moyen de propagande 
des idées socialiste pour faire son mieux à défendre les 
masses oppressées. Le socialisme, en tant quun pouvoir de la classe 
ouvrière et du travail libre, ne nie pas le système électoral 
à partis multiples. Par contre, la démocratie socialiste offre justement 
un tel genre de rapports politiques, qui ne permettent quelle soit dégénérée 
en pouvoir autoritaire.
2.3. Les rapports avec dautres partis
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans simpose de devoir de mener, 
dans un esprit dentente, un dialogue politique avec tous les partis de la 
gauche, dans la mesure ou la collaboration et les intérêts communs 
ne permettent pas de compromis ou une reculade de principes du marxisme et ne 
soient pas en contradiction avec le Statut et le Programme du parti. Cela signifie 
une possibilité à établir un front commun des forces de la 
gauche, en présérvant lidentité du PBOP. Dans ce but, 
on peut organiser des conférences politiques et dautres forums avec 
la participation active du PBOP.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans ne peut avoir aucunes relations avec 
des parti de la droite extrême, manifestant des idées et des conceptions 
fascistes, racistes, terroristes ou antihumaines. Le Parti bulgare des ouvriers 
et des paysans se déclare contre le terrorisme sous toutes ses formes.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans ne peut avoir aucuns rapports avec 
des partis éthniques, travaillant contre les intérêts de la 
Bulgarie. Voilà pourquoi, en défendant les intérêts 
nationaux, le Parti bulgare des ouvriers et des paysans plaide pour un accord 
des positions de tous les partis en Bulgarie. Le Parti bulgare des ouvriers et 
des paysans maintiendra des relations avec des mouvements et des organisations 
civiles écologiques, patriotiques, humanitaires, juridiques, sanitaires, 
etc. 
2.4. Rapports avec les syndicats
Pendant ces jours difficiles et orageux, lorsque les travailleurs en Bulgarie 
sont à la limite de la survivance physique, il ny a pas de protestes 
organisés, combien que cela sonne étrange ! Les manifestations et 
des meetings sporadiques. Les deux syndicats principaux en Bulgarie ont une influence 
faible ou nulle parmi les masses travailleuses. Les leaders de ces coteries syndicales 
sont des gens, nourris par le pouvoir, dont lavidité vise les emplois 
lucratifs et pas les intérêts vitaux du salariat. Lactivité 
de la Confédération du travail « Podkrepa » a un charactère 
politique prononcé et pas syndical, orienté vers la droite, étant 
comme un appendice du parti bleu. Le rapport de la Confédération 
des syndicats indépendants avec le pouvoir est soit dune coquette, 
soit dune jeune fille pincée. On ne peut rien attendre de leaders 
qui prennent leur repas à la table du pouvoir. 
Malgré tout, le Parti bulgare des ouvriers et des paysans prêtera 
toujours son support aux revendications justes des travailleurs, organisés 
et menés par ces deux syndicats, mais ce ne sera le même pour leurs 
leaders à double face.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans croit quil est extrêmement 
nécessaire de créer des syndicats nouveaux, « rouges », 
qui défendront et organiseront réellement les travailleurs en Bulgarie 
lors de leur lutte inégale avec le capital.
2.5. Des rapports avec lintelligence
Pas chacun des membres du Parti bulgare des ouvriers et des paysans peut être 
admirateur de lart, des belles lettres, de la musique ou des formules scientifiques, 
mais il ne peut ne pas avoir le respect nécessaire à eux. Lintelligence 
et la classe ouvrière ne doivent pas être en opposition, mais doivent 
se supplémenter lune lautre. Parce quelles sont les deux 
roues dun même méchanisme, deux poles dune pile.
Le socialisme à la tache de préserver et de développer la 
culture. La préservation de la culture bulgare est dimportance primordiale 
pour le Parti bulgare des ouvriers et des paysans. On ne peut pas, on ne doit 
pas détruire des valeurs culturelles et historique de quel temps que ce 
soit, c-à.-d. non seulement des monuments de la culture à 
la valeur prouvée, mais de tels à la valeur discutable des temps 
modernes. En plus, nous croyons quil est du devoir des hommes de la politique 
et de la culture de nos jours la popularisation de notre culture nationale en 
tant quun des sommets de la communauté culturelle mondiale. La littérature, 
la musique et la peinture bulgares ont leur place honorable parmi les exemples 
à la plus grande valeur de la culture mondiale.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans ne peut pas diviser la culture en 
culture délite et de masse. La culture est une sphère ou la 
vocation guide lhomme à exprimer librement son individualisme. Le 
parti se proclame contre toute pseudoculture, enracinante de la violence et des 
instincts bas  particulièrement bien à laise actuellement 
 qui humilie et détruit la personnalité humaine. Le choix 
aujourdhui est entre la classique et la décadence. Le choix dune 
culture maintenant signifie une culture du choix.
Dans le monde contemporain une des priorités de la civilisation est le 
développement de la science, ou lon investit des ressources et du 
potentiel colossaux. Voilà pourquoi le role des savant devient de plus 
en plus important pour la structure future du monde. Le Parti bulgare des ouvriers 
et des paysans, étant au pouvoir, sefforcera à mener la science 
bulgare au premier rang, comme un gage du développement fougueux de la 
société, affermissant de cette manière le socialisme. Cest 
pourquoi le Parti bulgare des ouvriers et des paysans place lintelligence 
scientifique et technique à la hauteur de lintelligence artistique. 
Lencouragement de la science et des réalisations techniques pour 
le bien de la société est une mission permanente, irrévocable 
et extrêmement importante que le Parti bulgare des ouvriers et des paysans 
sest posée.
Le Parti bulgare des ouvriers et des paysans se déclare pour garder et 
élever plus haut le niveau du système de léducation 
bulgare, qui a prouvé sa classe mondiale, comme maintenant elle est devant 
sa pleine dissolution. Il faut de nouveau allumer le respect pour le professeur 
et léducateur quon avait pendant le Renaissance. Le professeur 
bulgare ne mérite point la déchéance à laquelle il 
est réduit. Léchec actuel de notre éducation nous entrainera 
dans de futures graves conséquences pour toute la nation. Cest pourquoi 
le Parti bulgare des ouvriers et des paysans luttera pour lenseignement 
secondaire et supérieur gratuit aux critères élevés 
quil a toujours eu. Le parti se déclare décisivement pour 
une santé publique gratuite à une nouvelle politique dassurance 
sociale, en éliminant le paiement humiliant et égalisant des médecins. 
La santé publique gratuite est une réalisation du socialisme mais 
elle ne signifie point de travail de médecin gratuit ! Tout comme linverse 
 le sauvetage dune vie humaine ne peut pas être lobjet 
daffaires !
2.6. Les rapports avec les jeune gens
De nos jours la Bulgarie a une nation fortement vieillissante et les jeunes gens 
savèrent son capital le plus précieux. Cette jeunesse qui 
est toujours en train dapprouver dans le monde entier ses énormes 
talents, doit croire en la vérité de lidée socialiste, 
malgré la fuite et même de dégout manifestés maintenant. 
Cest ce qui est le but du Parti bulgare des ouvriers et des paysans dans 
ses rapport avec la jeune génération en Bulgarie. Cela peut être 
réalisé par organiser volontairement les jeunes gens intéressés 
dans une union sans orientation politique, au lieu de les laisser tomber dans 
le marécage de la drogue, de la prostitution ou bien des sectes religieuses. 
Des clubs de culture et denseignement pour étudier les principes 
et les idées essentielles du socialisme  cest ce qui lunion 
socialiste de la jeunesse doit représenter  et pas une union révolutionnaire, 
quelle avait été avant !
Par ce manifeste le Parti bulgare des ouvriers et des paysans annonce clairement 
ses positions, principes et appartenance, il déclare dune manière 
précise son origine et son idéologie marxistes. Le Parti bulgare 
des ouvriers et des paysans appelle pour une union de toutes les forces de la 
gauche. Pas à tout prix, mais sur les bases du marxisme ortodoxal ! Nous 
appelons le socialisme de Marx ! Parce quil ny a pas dautre 
socialisme ! Nous appelons le travail libre, légalité et la 
justice !
Varna, le 7 novembre 1996.