ONZIÈME CHAPITRE
LEDIT « PAIEMENT DU TRAVAIL »
Cest un terme venant encore de léconomie politique avant Marx, étant largement utilisé dans le langage quotidien. Cest un jargon et pas de langage scientifique. « Le paiement du travail » - une pièce du folklore bourgeois, autrefois a mené à une impasse dans la théorie, une confusion et des contradictions insolubles que Marx a coupé par sa force de travail. Cest à peine Marx qui a introduit louvrier avec sa force de travail en tant quune figure dans léconomie politique et justement comme une figure déterminante. Cest à peine alors que le salaire sest imposé en ensemble avec le capital en tant que catégorie principale. Et si de nos jours on reconnaît de nouveau la crise des sciences sociales et particulièrement de léconomie politique, cela est du de nouveau à la même cause quest-ce qui est payé ? Le travail ! Et pas la force de travail !
Cette erreur a mené tous les savants davant et de nos jours à un va-et-vient dans les labyrinthes de léconomie politique bourgeoise. Parce que avec « le paiement du travail » on voilait la nature du capital et de son exploitation en le représentant en une forme transformée.
« Cet égarement, régnant parmi les théoriciens, montre mieux comment le capitaliste-praticien est en général incapable à reconnaître la nature interne cachée derrière l'apparence » (Marx, Le Capital, Vol.III).
La pensée contemporaine, déjà « socialiste » a fabriqué ce faux en rang de loi, valable pour le socialisme « Loi du paiement selon la quantité et le qualité du travail ». Ainsi, de nos jours le rébus de dessus a obtenu même la forme dune loi ! Mais il ny a pas de telle loi dans léconomie politique !
Primo, un paiement selon la qualité du travail. Cest la couronne de lignorance, une bouille fade du crétinisme bourgeois contemporain. Parce que la valeur dune marchandise nest établie que de la quantité de travail socialement nécessaire qui y est mis. La valeur de la marchandise prétendue influencer le paiement de louvrier, nest pas établi par la qualité du travail, c-à-d. du travail concret, mais seulement de la quantité du travail, du travail abstrait. La qualité du travail, ou le travail concret détermine non pas la valeur, mais la valeur de consommation de la marchandise, qui nest pas la source de paiement de louvrier, parce quelle ne participe point dans le processus daccroissement de la valeur.
Secundo, quant au paiement selon la quantité du travail, il faut souligner que le travail nest quune fonction de la force de travail, à cause de quoi on ne paye pas le travail, mais la force de louvrier, pas la fonction, mais son porteur. Louvrier met en réalité une quantité déterminé de travail à la production dune marchandise donnée. Pourtant, son paiement se fait non pas pour cette quantité de travail, quil a mit maintenant, mais comme une partie de travail passé, dun autre travail avant lui. Cest pour cela que le capital est un rapport de production de souveraineté du travail mort par rapport au travail vivant. Le travail passé est celui par lequel on achète et avance la force de travail de louvrier en tant que force potentielle, ayant les habitudes et les capacités respectives à y mettre une quantité déterminée selon une norme de travail préalablement établie par le capitaliste. Donc, on ne paie pas le travail, mais la force de travail de louvrier en tant quun ensemble de connaissances, capacités, habitudes, etc., c-à-d. comme une marchandise offerte par louvrier ! « Par conséquence, le salaire nest pas la part de louvrier à la marchandises produite par lui. Le salaire est une partie des marchandises présentes, par laquelle le capitaliste s'achète une quantité déterminée de force productrice. »[i] Nous aurons recommandé ici aux ex-professeurs entretenus par lEtat, étant de nos jours des flambeaux de la science du marché, à consulter Dr.Marx au sujet de cette question, et pas seulement delle, parce quil la depuis longtemps résolue. Il faut dire à ce type de théoriciens aveugles, autrement « marxistes » autrefois, mais girouettes politiques maintenant que la lutte contre le capital commerce par la lutte avec « Le Capital ».
Aujourdhui, tout comme au temps de Marx, le salaire est apparemment conçue comme « une quantité déterminée dargent, payée pour une quantité déterminé de travail » (Marx), c-à-d., comme le prix du travail par le large publique et par la science académique. Mais Marx nous a déjà prévenu que « léconomie politique classique a occupé la catégorie de « prix du travail » sans aucune critique ultérieure de la part de la vie quotidienne ».[ii]
« Le travail général nia pas de valeur. Etant une activité qui crée de la valeur, il ne peut pas avoir une valeur séparée, tout comme le poids ne peut pas avoir de poids séparé, ni la chaleur de la température séparée, l'électricité une force du courant séparée. »[iii] Le travail na pas de valeur, le travail na pas de prix pour quil soit payé. « Le travail est la substance et la mesure immanente des valeurs, mais lui-même nia pas de valeur. »[iv]. Cette apparence du paiement du travail vient du « fait » que la force de travail sous le socialisme navait pas de valeur. Ce nest pas le travail qui est la marchandise, vendue par louvrier pour quil ait de la valeur et du prix. « Le paiement du travail » mène à une valeur du travail et à un prix du travail. Parce que le paiement de la valeur de toute marchandise se fait au prix de cette marchandise le travail dans ce cas. Mais « la valeur du travail nest quune expression irrationnelle de la valeur de la force de travail »[v] Et lexpression de « le prix du travail » est aussi irrationnelle quun logarithme jaune »[vi]
« A lexpression de « valeur du travail » la notion de valeur est non seulement complètement effacée mais même transformée en son contraire. Cest une expression imaginaire, tout comme par exemple la valeur de la terre. » (Marx, Le Capital, Vol.I.)
Le salaire représente un travail passé, avec lequel on avance le travail vivant actuel. Le capitaliste ne paye pas pour cela que louvrier travaille à une productivité du travail donnée, mais pour cela quil lui travail en général. Cest ce qui est le contenu de ladite « masse salariale » - on paye louvrier en argent pour un travail passé réalisé et pas suivant la quantité du travail, mis par lui au moment actuel. On ne paye pas le travail mis actuellement par louvrier, mais par le travail mis dans le passé par un autre ouvrier. La force de travail et pas le travail est celle qui fait de louvrier une marchandise potentielle. La force de travail et pas le travail est celle que louvrier vend comme marchandise contre paiement. Cest pourquoi, à légard des rapports de production socialistes il faut partir non pas du paiement du travail, mais du paiement de la force de travail, en examinant les conditions quand et comment elle cesse dêtre marchandise. Malheureusement, lopinion dominante, la pensée officielle était et continue dêtre « le paiement du travail » profondément enracinée, ayant mêlé avant et maintenant léconomie politique à « des contradictions insolubles, donnant en même temps une base opérationnelle sure aux banalités de léconomie politique vulgaire, reconnaissante en principe seulement l'apparence des phénomènes ».[vii]
Cette « loi » renie ses propres systèmes de paiement, introduits pendant des périodes différentes de tension des contradictions économiques chez nous. Ainsi, le système des échelons est une négation du « paiement suivant la quantité de travail ». Léchelon est une évaluation subjective du salaire pour lexpérience professionnelle et pas pour la quantité de travail mis et pour la productivité. Un jeune ouvrier à léchelon inférieur, toutes les autres conditions égales, peut produire plus de valeur pendant un temps donné, mais recevoir un salaire inférieur à celui dun vieux ouvrier à léchelon supérieur, c-à-d., une plus grande quantité de travail est moins payée ! Autrement dit, la « loi » nest pas valable, mais inventée, parce que son expression le système des échelons ne lui correspond pas en lempêchant à se manifester comme telle.
Si le degré est paiement non suivant la qualité de travail mis, ou un salaire différent est payé pour une même quantité de travail, la situation relative au « coefficient de participation au travail » nétait pas meilleure dans ce cas-là le subjectivisme a été rendu à un degré supérieur. Si léchelon est constant, le coefficient de participation au travail est un subjectivisme variable chaque mois. Ici on paye non pas suivant la quantité de travail, mais suivant lobéissance.
Et « les degré de qualification » - des apprentis, des compagnons et des maîtres cétait le dernier effort de souris de notre pensée économique avant 1989 daccoucher une montagne, représentant une introduction des différences de caste, trop éloigné de tout paiement suivant le travail. Au contraire cétait un paiement selon les points. Le subjectivisme extrême de ce système de loterie a mené à une multitude de « dérogations », étant la raison de la suspendre à plusieurs lieux.
Le besoin de ranimer notre agriculture agonisante a rappelé à la vie la « nouvelle » forme de paiement, dont on a bruyamment fait de la publicité à la fin des années 80 du XX-ème siècle laccord, inauguré avec des coups de canon par nos grands coryphées marxistes. Mais écoutons un peu Marx sur cette question.
« Mais la plus grande liberté que le salaire à morceau donne à l'individualité a pour but de développer chez les ouvriers dun coté leur individualité, et avec cela le sentiment de la liberté, de l'indépendance et de contrôle de soi-même » (c-à-d., autogestion), « et dun autre la concurrence mutuelle entre eux. Cest pourquoi le paiement à morceau a la tendance de baisser le niveau moyen lors de laccroissement des salaires individuels au-dessus de ce niveau. » (Marx, Le Capital, Vol. 1)
Cest parce quil y avait du « paiement du travail » et pas de la force de travail, dans les conditions du capitalisme de monopole absolu de lEtat, que ladite « égalisation » a apparu. Légalisation, qui nest possible que sous cette forme du capitalisme, à la surface de la vie économique semble comme de recevoir le même salaire pour une durée différente du temps de travail, une intensité différente et une productivité différente un même salaire pour une tension différente au cours du processus de la production. Mais ce nest que le phénomène. En réalité légalisation représente un prix monopole bas de la marchandise de force de travail. A part cela, elle est un prix constant de la force de travail, malgré sa valeur accroissante. Or, légalisation est un prix bas monopole artificiellement retenue constante de la force de travail dans le but den extraire des profits monopoles. Le monopole, et surtout le monopole absolu de lEtat ne permet pas que le mécanisme du marché soit mis en marche, auquel le prix de la marchandise de force de travail le salaire soit influencé et déterminé par la concurrence. Le prix monopole bas de la marchandise de force de travail, en ensemble avec les prix monopoles élevés dun nombre dautres marchandises des habitations, dappareils électroniques, des automobiles, etc. procuraient à loligarchie financière chez nous, un propriétaire de lEtat et des monopoles, fusionnés en un tout dénormes profits supplémentaires surs. Dun coté, les dépenses faites à acheter la force de travail le capital variable était insignifiantes, alors que dun autre, les revenus ont été garanti et élevés, parce que, à cause du monopole cette force de travail navait pas de choix, étant obligée à payer des prix monopoles élevés pour une partie de ses moyens dexistence nécessaires. Ces ciseaux des prix monopoles permettaient dextraire des profits vraiment cyniques. Cette différence entre le prix monopole bas de lachat de la force de travail et les prix monopoles élevés dune série dautres marchandises procurait les profits monopole maximum à une poignée de magnats de lEtat.
Si la « loi » mentionnée dessus était en vigueur, nous naurions été amenés à ce temps-là, au désespoir de la qualité des marchandises bulgares, à y consacrant des conférences du parti( ! ! !), à ne pas parler de leur quantité un déficit éternel !
La pensée économique infantile trébuchait à ses propres dogmes elle éliminait les uns pour les remplacer dautres. Par exemple, elle a « rompu » en théorie avec légalisation en la remplaçant par le « stimule du travail » - toujours un produit du « paiement du travail ».
Une des formes des « stimules » ont été les primes. Celles-ci étaient des prix « pour le bon service » de louvrier, introduites à le « stimuler » au travail gratuit pour lEtat. Les primes nétaient que lappât pour le piège, un bonbon pour des enfants sages, un piège pour le pompage plus rapide de travail ajouté, étant en général le privilège du gros employé. Lacceptation de tels stimulateurs donnait de bons profits au capitaliste et de la mauvaise santé à louvrier. « Le stimule du travail » est un doping, quon ne peut point contrôler.
A partir du « paiement du travail » est née la catégorie économique de « revenus réels », introduite spécialement à détourner lattention de louvrier de la place principale ou lon lui suçait le travail, dans le but de rendre sa vie entière en temps de travail. Comme le salaire de louvrier ne lui était pas suffisant, il été obligé à chercher des revenus « dune activité secondaire ». « Les revenus réels » sont la légalisation de la spéculation, menant ce quon appelle « revenus sinécures » Sous la catégorie de « revenus réels » on cache de manière habile la nature de lexploitation capitaliste, en dépréciant limportance du salaire. Ce quon appelait « revenus réels » sont en réalité une métamorphose du « revenu de travail » critiqué par Marx, celui-ci ayant été solidement partagé avec succès de nos jours. Delà est sorti le terme de « revenu sinécure ». Il faut souligner à nos hommes savants que dans le cadre de la société socialiste, tout membre doit vivre de son propre salaire et daucuns « revenus réels ». Le salaire est lunique revenue réel et lunique qui soit obtenu du travail. Parce que celui qui vit de « revenus réels », ne vit aucunement dun salaire réel ! La source des revenus sont 3 capital, dont le revenu est le profit, le travail, dont le revenu est le salaire et la terre dont le revenu est la rente. Donc, si les revenus compris par la catégorie de « revenus réels » ne proviennent pas du salaire, c-à-d., du travail, ils sont soit du capital comme profits, soit de la terre comme rente. Mais dans tous les cas ils ne viennent pas de travail ou même pas du tous de travail. Ces « revenus réels » nétaient que la légalisation du mercantilisme. Cétait la cause dy avoir, parallèlement au marché officiel, un marché de spéculation. Il ne peut pas exister à léconomie politique du socialisme deux incompatibles catégories, lune éliminant lautre le salaire réel et les « revenus réels ». « Les revenus réels » créent est justifient les conditions de la transformation de largent en capital. Le business de la drogue et la prostitution auraient pu tout légalement entrer à cette catégorie ils prétendent dêtre « revenus réels ». « Les revenus réels » ont été le terrain réel de lapparition et du développement du petit propriétaire, que la même grosse oligarchie financière au pouvoir a transformé plus tard en petit capitaliste.