DIXIEME CHAPITRE
LINFLATION
La force de travail nest pas de marchandises vendue et achetée à sa valeur, bien quapparemment elle a cet air. Mais le fait que le salaire coïncide toujours avec la valeur de la force de travail, tout comme le prix avec la valeur de la marchandise, parle dune autre chose. Cest à peine maintenant quune correspondance pleine et exacte est obtenue entre des prix et des salaires, laquelle correspondance exclue toute possibilité de lexistence du phénomène dinflation parce que le prix et le salaire reflète toujours la valeur, le premier de la marchandise, le second de la force de travail. Ils sont une copie exacte, une photographie, des images réels de la valeur et pas dénaturées par le miroir fautif de la concurrence ou du monopole. La source de linflation du capitalisme contemporain, résultat de la régulation monopoliste de lEtat et justement celui-ci que le prix et le salaire sont détachés pas seulement et pas tellement de lor (le papier-monnaie de crédit), que de la valeur. Le croisement entre la valeur et le prix de toutes les marchandises, y compris la marchandise de force de travail est une condition nécessaire à lapparition de linflation, il est conditio sine qua non, existant au sein du capitalisme précédant le monopole. La condition suffisante cest lintervention des monopoles et de lEtat dans le processus de la reproduction de manière que ce croisement dégénère en conflit.
Encore Marx soumet à une critique ruinante les principes de « lécole monétaire » de lerreur absolue de la théorie et sa pratique nuisible en Angleterre au milieu du XIX-ème siècle. Mais jusquà nos jours linflation est expliquée par cette école avec le « principe de la circulation monétaire » irréel est imaginaire, bien que les banquiers anglais actuels après avoir la mauvaise expérience nessaient plus à introduire pour une seconde fois lacte bancaire de 1844. Mais comme « l'inflation modérée » est une chose convenable et donnant des profits au gros capitaliste sous le monopole de lEtat, dans le domaine de la théorie de nombreux agents payés peuvent librement sexercer en rhétorique pour expliquer linflation alors quen pratique on cherche de divers moyens à son perpétuation. Aujourdhui les descendants de lord Overstone continuent dexpliquer que « les marchandises sont trop chères parce quil y a trop dargent dans le pays »[i]. Jusquà nos jours on continue de la même manière sotte mais sûrement intentionnelle à mêler la valeur de la marchandise à la valeur de largent ! Que le prix de la marchandise est une chose, et le taux de lintérêt (le prix de largent) une autre, complètement différente cette vérité alphabétique na point besoin dêtre commentée, si on navait pas construit par-dessous delle tout un système de mensonges et derreurs. Tout professeur de cette élite, en tant que ex-étudiant y était mêlé, forcé à apprendre par coeur ce mensonge sincère, pour la multiplier plus tard de la hauteur de son poste sur des générations de jeunes prosélytes aux cerveaux lisses, dont le but était la carrière ! Cest comme cela que la science est faite ! La science économique contemporaine évite souvent de sappeler économie politique, mais elle nest pas une telle elle-même. Léconomie politique contemporaine a tout consciemment rompu avec léconomie politique classique, en y effaçant toute trace et arrachant toute image de la genèse des profits et du rapport capital-travail. La science économique contemporaine est engagée déjà au domaine le plus inoffensif le capital monétaire, ce qui nest vu quà la surface de la vie économique. Finance, crédit, taux dintérêt, papiers précieux cest son credo aujourdhui. Mais après Marx léconomie politique bourgeoise ne peut faire rien dautre. Keynes en a essayé, mais a failli. Les monétaristes non plus. Marx aurait appelé la science économique contemporaine économie politique vulgaire.
Linflation en tant que phénomène est observé à cause de la dérogation aiguë ou chronique de la Loi de la circulation monétaire. Cette loi, tout comme toute autre loi du capitalisme existe pour être violé ! Dans ce système il est plus convenable de déroger les lois que de les observer, comme Marx a déjà mentionné. Le même est valable à légard de linflation et de la Loi de la circulation monétaire il est plus convenable de la déroger à la manière de Keynes, pour quelle existe en tant quune source supplémentaire de la richesse oligarchique.
Suivant la Loi de la circulation monétaire, la quantité dargent en circulation est établi en proportion inverse par la vitesse des tours de lunité monétaire plus la vitesse est grande, plus la masse de largent nécessaire en circulation est petite, c-à-d. lors dune circulation ralentie de largent on augmente sa masse. Et ce ralentissement de la circulation est provoqué par lélévation des prix des marchandises. « L'illusion quil arrive le contraire, c-à-d., que les prix des marchandises sont établis par la masse des moyens de circulation »[ii] est déjà dévoilée il y a 130 ans par Marx !
Pour que la quantité de largent en circulation augmente, cela signifie que la vitesse de la circulation est ralentie et basse. Mais elle nest quune conséquence de leffet dautres causes les monopoles et lEtat à létape contemporaine sur les deux fonctions de largent : en tant que moyen de paiement et comme moyen de circulation, c-à-d., retard des paiements de crédit et comptant, dans le gros et le petit commerce. Lintervention artificielle de lEtat et des monopoles aux lois économiques provoque une dérogation durable et des déformations de la Loi de la circulation monétaire ainsi, que tout dabord les prix des marchandises sont élevés, ensuite, à cette base la quantité de largent en circulation est augmentée. Et pas le contraire ! Lélévation des prix est la cause et pas la conséquence de la masse de largent en circulation augmentée. Et le crédit a le rôle primordial dans lélévation des prix, lorsquil baisse, c-à-d., lors dune crise.
« Lors des périodes ou le crédit prédomine, la vitesse de la circulation monétaire augmente plus vite que les prix des marchandises, alors que le crédit baissant, les prix des marchandises baissent moins vite que la vitesse de la circulation. » (Marx, Le Capital, Vol.III.)
Le rapport structural de deux des fonctions de largent joue un rôle important à lexistence du phénomène dinflation les fonctions de moyen de paiement et de moyen de circulation.
« Si la circulation de largent en tant que moyen de paiement aurait augmenté au degré supérieur à celui de la baisse en tant que circulation de moyens d'achat, la circulation entière aurait été augmentée, bien que la quantité de largent, fonctionnant comme moyen de paiement, aurait été considérablement diminué. » (Marx, Le Capital, Vol.III.)
Donc, linflation est due pas à « limpression dargent » à cause de laccroissement de la masse salariale, comme les démagogues bourrent le crâne de milliers de travailleurs, mais surtout à laccroissement colossal de la circulation de largent en tant que moyen de paiement, laquelle fonction prédomine loin au-dessus de son fonction de moyen dachat, un accroissement du, surtout et particulièrement lors dune crise, aux difficultés et au retard des paiements dénormes transactions financières. Ce dépassement exclusif de la fonction de moyen de paiement par rapport à la fonction de moyen dachat, exprimant la grand part des opérations de crédit du gros business devant la consommation fortement réduite est baissante de moyens dexistence des milliers petits déposants les ouvriers, savère le facteur le plus important de linflation vu de son coté purement monétaire, pourtant lui-même étant une conséquence de lactivité des monopoles et de lEtat et pas une cause. Ce manque de balance entre les deux fonctions de largent est faiblement manifesté lors dépanouissement, mais étant particulièrement fort lors dune crise.
« Et cela arrive en réalité à des moments donnés de la crise, justement lors de l'écroulement du crédit, ou il devient impossible non seulement que les marchandises et les papiers précieux soient vendus, mais que les lettres de change soient escomptées et il ny a rien dautre à faire que de payer comptant ou comme les commerçants disent : caisse. » (Marx, Le Capital, Vol.III.)
Cest justement à cause de lexistence de la fonction de moyen de paiement quil apparaît un croisement inévitable entre la quantité de largent en circulation et la quantité des marchandises en circulation. Si le crédit nexistait pas, cela naurait pas été comme ça, mais aurait eu lair plus simple et clair en tant que moyen de circulation, largent aurait toujours correspondu exactement à toutes les marchandises en circulation. Mais cela signifie que la civilisation humaine ait resté pour toujours au même niveau primitif de développement. Cependant, avec la fonction de moyen de paiement, qui est une fonction de largent de léconomie marchande hautement développée, on rompt les rapports directs entre la circulation monétaire et la circulation marchande, « la masse de largent, étant en circulation au cours dune période de temps donnée nest plus couverte de la masse marchande en circulation. Il y a de largent en circulation qui représente des marchandises depuis longtemps retirées du processus de la circulation. Il y a des marchandises en circulation dont l'équivalent monétaire apparaîtra dans le futur. Dun autre coté, les paiements contractés tous les jours et payés immédiatement ne sont pas du tous des quantités commensurables. »[iii] Le manque de correspondance entre la circulation monétaire et la circulation marchande est la première condition à une éventuelle élévation générale des prix, dans des conditions déterminées, c-à-d., un facteur potentiel à linflation. Alors que le manque de correspondance entre valeur et prix en est lautre facteur primordial est déterminant. Parce que, même sil y ait de la correspondance entre la circulation monétaire et la circulation marchande, sil ny avait pas de croisement entre la valeur et le prix, il ny aurait pas eu dinflation !
Lors de la production capitaliste contemporaine fortement développée, le crédit a atteint de telles dimensions quen comparaison avec son manifestation de largent en tant que moyen de paiement, leur fonction de moyen de circulation est une quantité insignifiante. Et cest pour cela que cette fonction de moyen de paiement, à cause de sa quantité relativement élevée dans les fonctions monétaires, est un facteur potentiel primordial à linflation et pas largent présent en circulation, ayant une importance et une influence minimale, c-à-d., le crédit dans le cadre du gros commerce est une pompe beaucoup plus puissante à linflation que les ventes dans le petit commerce. A qui est, cependant, destinée cette théorie à lexplication naïve de linflation en tant que « impression dargent » à cause des salaires ? Aux pauvres, pour les faire croire que leur revenus misérables sont coupables à leur fonte ultérieure, que leur salaires relativement diminuants sont la cause de laccroissement absolu des prix des marchandises ! La part du salaire par rapport aux autres revenus à la société capitaliste profits, rente et intérêt comme par rapport au capital entier, est si petite, quil naurait pas eu mérité lattention, sil le salaire nétait pas exprès incriminé dêtre la source fatale de linflation. Si même le salaire avait quelque influence sur linflation, il y aurait occupé la dernière place !
Le manque de correspondance entre la valeur et le prix existe chez le capitalisme marchand avant le stade de la monopolisation. Mais, à cause de la domination du standard dor, et encore plus faute de monopoles en tant que manière de production principale, y ajouté le rôle de lEtat, loin de celui quil a actuellement, il ny a pas dinflation ou elle nest quun phénomène sporadique. Lapparition du capitalisme monopoliste change les choses radicalement en mettant fin à la concurrence libre, dont la fin coïncide avec lapparition du papier-monnaie ou plutôt lui-même, il les introduit et impose comme un moyen plus convenable à lui. Les billets de banque no sont pas dévalorisés lors du capitalisme du XIX-ème siècle précédant la monopolisation, parce quils ont une garantie en or, à part celle du crédit. Lors du capitalisme monopoliste du début de notre siècle on a annulé le standard dor et les billets de banque ne sont plus échangés contre de lor, en devenant de cette manière plus nombreux et considérablement plus nombreux que les nécessités réelles de la circulation marchande. Ainsi les billets se transforment en papier-monnaie et leur surplus à la circulation en inflation.
Aujourdhui, lorsque le standard dor est depuis longtemps suspendu, ouvrant la voie de la domination du papier-monnaie, le rôle dargent mondial est joué par la devise de léconomie la plus puissante à la frontière de deux siècles et deux époques cest le dollar américain. Mais la dévalorisation de largent en grande dimension suit le même schéma que autrefois. Lors de grandes crises il y a toujours un reflux dor (actuellement, sous la forme de dollars américains) du pais donné à létranger. La circulation interne restant sans la provision en or respective à la banque centrale, au lieu dêtre réduite, remplit de sa nullité les canaux de la circulation. La force de largent en tant que moyen dachat baisse brusquement, étant résultat de leur déficit aigu en tant que moyen de paiement. La demande fébrile de largent pour moyen de paiement, parallèlement à son offre restreint, augmente le taux de lintérêt jusquà des hauteurs célestes à cause de la baisse brusque de son prix, dont la valeur équivaut à un nombre beaucoup moins grand de marchandises. Alors « la masse de feuilles de papier »[iv], si réellement remplaçant une valeur marchande mesurée en or de 2 fois moins grande, alors le prix de cette valeur marchande sera respectivement doublée. Ce scénario de crise en temps de paix a été illustré en couleurs et plusieurs fois joué en Bulgarie de 1990 à 1997 au cours de la Nuit de Walpurgis de sept ans (combinée à cette de Barthélemy), ou le pillage des riches était comme le désespoir des pauvres infini !
Linflation, qui à la surface de la vie économique apparaît en tant quune élévation des prix des marchandises avec la baisse parallèle de la force dachat de largent, nest quune manifestation extérieure de la monopolisation du processus de la production. Cest pourquoi lors du capitalisme avant les monopoles linflation est un phénomène occasionnel, rien quune attaque aiguë lors dune crise, tandis que pendant lépoque contemporaine elle est une maladie chronique dun organisme mourant. Initialement le monopole a été une solution de courte durée des contradictions aiguës du capitalisme, une desquelles est le croisement de valeur et de prix. Ce nest pas de contradiction entre les volumes I et II du Capital, non plus une contradiction chez Marx, mais une contradiction de la production capitaliste. Et initialement le monopole a été une mesure temporaire justement lors dune crise. Le monopole stoppe le mécanisme automatique de détermination libre des prix de la part de la concurrence. De cette manière par les prix monopoles, le gros capital gagne et reste intact, alors que le petit capital perd et périt. Après la fin de la crise pourtant, le monopole devient inutile, il se transforme en une chaîne pour le développement des forces productrices. Mais jusquà ce que le monopole est en vigueur, le prix sont établis non pas par la norme moyenne (générale) des profits en tant que prix de marché, mais dune norme monopole des profits fortement augmentée en tant que des prix monopoles. Lors du capitalisme classique le niveau général des prix des marchandises est déterminé par la norme générale des profits. A cause de son tendance à la baisse, le niveau général des prix montre aussi une tendance à la baisse. Cest pourquoi chez le capitalisme précédant létape des monopoles il ny a de linflation que lors dune crise, après quoi la concurrence libre impose une tendance à une certaine baisse du niveau général des prix, résultat de la tendance à la baisse de la norme générale des profits. Mais lors du capitalisme monopoliste et surtout du capitalisme monopoliste de lEtat, linfluence de la norme générale des profits est arrêtée dans le but dextraire des profits monopoles par des prix monopoles. Si ces prix monopoles sont élevés, ils sont initialement élevés comme une cause. Et sils sont en vigueur pour un temps assez long, comme cétait en Europe de lEst, particulièrement en lURSS et en Bulgarie des prix monopoles bas artificiellement maintenus, ils sont ultérieurement élevés parce que cela devient nécessaire les dépenses nécessaires publiques limposent. Cette élévation générale des prix est possible, seulement parce quil y a une réserve au-dessus des prix de production monopoles bas, un surplus de la production entière, faisant de cette manière les prix rattraper leur valeur générale la cause en est justement le croisement entre valeur est prix de toutes les marchandises.
De nos jours linflation est devenue chronique. Linflation chronique est immanente seulement au capitalisme monopoliste de lEtat, parce quelle est produit de la propriété de lEtat monopoliste et de la centralisation et concentration actuelle du capital. Le mécanisme de marché de la concurrence libre ne mène jamais à lélévation des prix, même au contraire, alors que celui de lEtat monopoliste le fait toujours, à cause de la régulation artificielle du marché justement à travers ses prix. Lautomatisme de la formation des prix au marché est remplacé par la formation réglée par lEtat monopoliste.
Un des facteur primordiaux de linflation chronique sont les monopoles. La formation des prix indépendante et objective lors de la concurrence libre est remplacée par négociation, accord des prix entre des groupes et des unions monopoles puissants. Ainsi, force à lintervention artificielle aux processus économiques, les monopoles dérogent et déforment leffet des lois économiques objectives de la production marchande capitaliste, menant à une crise de longue durée de la reproduction capitaliste, dont la manifestation est linflation. Voilà pourquoi lexplication de linflation ne se trouve pas seulement dans les particularités du système monétaire, de la circulation monétaire, de la spécificité du papier-monnaie de crédit en tant que cause, mais ils ne sont que conséquence de la marche du système économique entier du capitalisme monopoliste, et quant à linflation chronique du capitalisme de lEtat monopoliste. Linflation est générée comme essence du processus de reproduction entier du capital monopoliste avec son exploitation, manière de production, échange et distribution. Linflation nest quune forme de distribution injuste du revenu national, c-à-d., une forme dinjustice sociale à lintérieur de la société capitaliste. Autrement dit, linflation est une forme dexploitation dans cette société elle est une exploitation indirecte et secondaire à la circulation, à part lexploitation apparente et primordiale dans la production. Linflation est un des leviers de la régulation de la part de lEtat monopoliste, qui est la base de la « politique des revenus » humanitaire régulation au profit des riches, au profit de loligarchie financière monopoliste, du sommet de lEtat monopoliste. Linflation est une expression effrontée et hypocrite du dépouillement de la classe ouvrière lorsque Δv<Δ(v+m). « La spirale » prix-salaires est inventée par les idéologues travaillant à lordre pour justifier lexploitation capitaliste supplémentaire à la circulation. Un tel conseil de « inflation modérée » a été donnée pour la première fois par Keynes que les prix devancent continuellement les salaires et que lon affirme le contraire dans le but, premièrement de créditer le déficit du budget de lEtat et deuxièmement, pour régler le conflit capital travail salarié.
Cest pourquoi un processus de reproduction basé sur propriété collective des moyens de production, privé dexploitation, un processus à rapports égaux dans la production et la distribution, nie la possibilité dinflation. Ce processus de reproduction crée ce rapport social du salaire comme une valeur auto-accroissante, qui justement établit léquilibre entre les prix et les salaires, nadmettant pas une telle élévation des prix, qui signifie la baisse des salaires, c-à-d., linflation. Laccroissement continuel du salaire en tant que valeur auto-accroissante signifie une augmentation continuelle de la capacité dachat de la classe ouvrière, des larges masses de la population, qui, de son coté exclut la dévalorisation de largent.
En addition, lors de ce processus de reproduction et de ses rapports de production, le monopole ne peut pas apparaître et se développer, si grande et puissante soit une compagnie, parce quelle est forcée à sapproprier de la valeur ajoutée conforme à son capital au même degré que la plus petite et la plus faible compagnie. La propriété ne permet pas au gros business dengloutir le petit, c-à-d. ce deuxième ne pourra jamais tomber en faillite à cause de la gravitation du premier. La propriété publique neutralise cette gravitation justement. Seulement la concurrence de la propriété privée crée la centralisation du capital, qui mène au monopole, c-à-d., le monopole est né de la propriété privée, bien quil lavale ensuite, tout comme Zeus son père.
Lautre facteur primordial à lexistence de linflation chronique est lEtat avec son intervention à lactivité des monopoles à travers ses dépenses improductives continuellement augmentant. Le déficit du budget de lEtat est chronique, constant, du surtout de la militarisation accroissante de léconomie. La dette publique augmentant, ayant actuellement devenue des ennuis pour tout équipe gouvernementale est un trait caractéristique du parasitisme augmentant, menant à la putréfaction de ce système. Mais dans un Etat en train de disparaître cette cause de linflation chronique les dépenses de lEtat simplement cesse dêtre en vigueur. Parce que, au lieu de chercher des moyens à couvrir ses dépenses, y compris lémission de papier-monnaie, un tel Etat les réduira continuellement. Par diminuer les dépenses improductives, par ne pas admettre la dette publique et le déficit du budget, par la réduction des ordres de lEtat, par la politique simplifié jusquà son minimum, lEtat en train de disparaître aura une influence favorable sur la stabilité de lunité monétaire, c-à-d., lEtat cessera dêtre un facteur à lapparition de linflation.
Ainsi, la cause primordiale de linflation à lintérieur du capitalisme monopoliste de lEtat est laugmentation artificielle de la norme des profits par les monopoles ladite « norme préméditée des profits » - tout comme par lEtat dans les branches et les productions nationalisées, dans le but daugmenter les revenus du budget national. Autrement dit, les facteurs de linflation chronique sont deux les monopoles et lEtat. Lors du socialisme linflation est impossible, parce que, primo, il ny a pas de terrain de développement du monopole, parce que la norme générale des profits est const, qui ne peut pas augmentée. Ce fait p' = const, nadmet pas le monopole, tout comme il nadmet pas la propriété privée des moyens de production, nadmettant pas la centralisation ultérieure du capital et le capital lui-même. Secundo lEtat est en train de disparaître, c-à-d. un processus permanent est réalisé de réduction des dépenses improductives.
Mais lors des rapports de production capitalistes, tous les deux facteurs avec leur effet mutuel séparent, détachent le prix de la valeur réelle de la marchandise, créant une contradiction et même une tension entre eux. La contradiction entre valeur et prix mène à la dérogation de la reproduction du capital, mieux exprimé lors dune crise. Cette contradiction, plus faible lors du capitalisme classique et plus forte à lintérieur du capitalisme monopoliste de lEtat, mène à des déformations du lien entre marchandises et prix, entre le niveau des prix et la masse de largent en circulation une contradiction engendrant linflation. Mais si le prix coïncide avec la valeur, quand tous les deux sont en harmonie, en correspondance, cette contradiction nexiste plus et avec elle linflation. Le manque dinflation a une influence extrêmement favorable à la stabilité de lunité monétaire, aux revenus, au capital, à la sécurité des investissements. A condition que linflation chronique soit absente, il ny aurait pas daugmentation des prix des moyens de production, c-à-d., à la valeur invariable de largent, le capital constant ne devient pas plus cher et alors une même composition de valeur du capital nexprimera une composition organique différente ou bien une même composition organique ne sera exprimée en composition de valeur différente et avec cela une productivité différente. Au contraire. Mais cela ne se fait toujours quavec la coïncidence de valeur et prix, atteint par la même norme générale des profits.